L’impact des mémoires de lieux sur le vivant
Rappelons-nous que tout Être vivant n’est qu’énergie, et que l’énergie qui circule n’a pas de limite de mouvements.
Les mémoires peuvent être présentes aussi bien dans les sols, dans les murs, que sur des objets.
L’énergie qui en découle définit en partie la vibration du lieu. cela nous donne des indications de pourquoi on se sent bien à un endroit et moins bien à d’autres.
Avant toute intervention pour harmoniser votre lieu de vie, il est capital de déceler les mémoires qui sont défavorables aux sites. A défaut le travail de rééquilibrage serait faussé. Il perdrait de son sens car une des origines n’aura pas été transmutée. Cela risquerait même d’aggraver les choses. Puisque forcer l’élévation vibratoire du domicile (par exemple) sans les traiter, les renforcerait encore plus. Au risque de créer des pathologies plus lourdes pour les personnes restant en contact prolongé avec elles.
Cela pourrait également induire des transactions immobilières au ralenti dans le cas d’une vente, d’une location. Créant également des blocages dans les projets en cours ou à venir, une sensation de mal-être généralisé, etc.
Alors d’où viennent ces mémoires me direz-vous ?
Elles sont issues pour la plupart de situations difficiles/négatives vécues au sein même du lieu.
(dispute, violence, abus, inceste, dépression, maladie, tristesse importante, décès)…
Plus elles sont vécues de façon intense et plus elles s’inscrivent dans les murs. Et cela au gré des différents occupants qui apportent/déversent leurs lots de perturbations. Imaginez une maison familiale transmise de génération en génération avec le flot de mémoires en lien avec les générations précédentes…
A réfléchir !
Pour la mémoire du terrain, cela peut provenir du fait que le logis ait été construit sur un ancien cimetière, un champs de bataille, sur un cours d’eau, etc.
Eh oui, il ne faut pas négliger la puissance de l’eau qui à la faculté de charrier les mémoires. C’est un excellent amplificateur !
Toutes ces mémoires ont besoin d’énergie pour subsister, et d’après vous où vont elles puiser leur source d’alimentation ? Sur le vivant bien sûr.
Être à l’écoute de soi, de son entourage est important, il y a des êtres plus sensibles que d’autres : les enfants, les animaux…
Mon rôle en tant que Geobiologue est de procéder par étapes
et aucune n’est à négliger !